La réforme du bac induit un recul considérable de la place de la langue corse au lycée. La semaine dernière, élus, professeurs et syndicats tenaient une conférence de presse à l'Assemblée de Corse pour dénoncer ses effets néfastes.
Le maintien du caractère facultatif de la langue corse confirme l’attitude profondément idéologique et clivante de l’Etat.
Cette situation suscite une lecture commune et extrêmement négative des effets de la réforme du baccalauréat et un mouvement général de contestation au Pays basque, en Bretagne et en Occitanie, comme en Corse.
Suite à mes différentes interventions, je serai reçu par le ministre de l’Education, M. Blanquer, le 6 mars prochain.
Je défendrai alors les positions politiques qui ont toujours été les nôtres :
Le maintien du caractère facultatif de la langue corse confirme l’attitude profondément idéologique et clivante de l’Etat.
Cette situation suscite une lecture commune et extrêmement négative des effets de la réforme du baccalauréat et un mouvement général de contestation au Pays basque, en Bretagne et en Occitanie, comme en Corse.
Suite à mes différentes interventions, je serai reçu par le ministre de l’Education, M. Blanquer, le 6 mars prochain.
Je défendrai alors les positions politiques qui ont toujours été les nôtres :
- L’Ecole doit apporter sa contribution pleine et entière à la construction d’une société bilingue ;
- L’enseignement bilingue doit être généralisé de la maternelle au baccalauréat ;
- La discipline Langue et culture corses doit être inscrite dans le « socle commun de culture ».