La France s'apprête à réduire le dépistage du coronavirus à des cas limités. Cette décision est contraire à l'attitude de tous les pays ayant eu à ce jour des résultats positifs dans leur lutte contre l'épidémie, ainsi qu'aux préconisations de l'Organisation Mondiale de la Santé.
Or, la doctrine française est prétendument fondée sur un conseil scientifique dont le Président demandait pourtant hier soir sur France 2 la massification des tests ! La décision de réduire les tests constitue manifestement une lourde faute alors que de l'avis général, il faudrait leur donner un caractère massif. La Corse ne peut, dans une situation de cette gravité, être soumise à des décisions incompréhensibles prises à Paris ne prenant en compte ni le caractère aigu de la contamination sévissant dans l'île, ni l'avis des institutions internationales.
Le Président de l'Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, a écrit en ce sens au Préfet de région, puis au Directeur Général de l'Organisation Mondiale de la Santé.
Or, la doctrine française est prétendument fondée sur un conseil scientifique dont le Président demandait pourtant hier soir sur France 2 la massification des tests ! La décision de réduire les tests constitue manifestement une lourde faute alors que de l'avis général, il faudrait leur donner un caractère massif. La Corse ne peut, dans une situation de cette gravité, être soumise à des décisions incompréhensibles prises à Paris ne prenant en compte ni le caractère aigu de la contamination sévissant dans l'île, ni l'avis des institutions internationales.
Le Président de l'Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, a écrit en ce sens au Préfet de région, puis au Directeur Général de l'Organisation Mondiale de la Santé.