La Collectivité de Corse présente deux expositions inédites et poursuit ainsi son engagement en faveur d’une large diffusion du patrimoine insulaire dans tous les territoires de l’île.
Gilles Simeoni, Président du Conseil exécutif de Corse et Antonia Luciani, Conseillère exécutive en charge de la Culture et du Patrimoine inaugurent Vendredi 16 juillet 2021 les deux expositions suivantes : « Les lieux de mémoire de la Corse médiévale » sur le site archéologique de Cucuruzzu - Capula à 14h00 et « Paci Eterna - tombes et outre-tombe » à 15h30 au Musée de l’Alta Rocca.
Depuis plusieurs années, le Conseil exécutif de Corse a mis en place une politique culturelle visant à préserver le patrimoine mais également à le faire vivre.
A travers ces deux manifestations, le Moyen Âge corse est mis à l’honneur par une approche originale et spécifique, offrant au public un cheminement unique jusqu’aux représentations de la mort dans la culture insulaire.
Gilles Simeoni, Président du Conseil exécutif de Corse et Antonia Luciani, Conseillère exécutive en charge de la Culture et du Patrimoine inaugurent Vendredi 16 juillet 2021 les deux expositions suivantes : « Les lieux de mémoire de la Corse médiévale » sur le site archéologique de Cucuruzzu - Capula à 14h00 et « Paci Eterna - tombes et outre-tombe » à 15h30 au Musée de l’Alta Rocca.
Depuis plusieurs années, le Conseil exécutif de Corse a mis en place une politique culturelle visant à préserver le patrimoine mais également à le faire vivre.
A travers ces deux manifestations, le Moyen Âge corse est mis à l’honneur par une approche originale et spécifique, offrant au public un cheminement unique jusqu’aux représentations de la mort dans la culture insulaire.
« Les lieux de mémoire de la Corse médiévale » - site archéologique de Cucuruzzu - Capula
L’exposition « Les lieux de mémoire de la Corse médiévale » a été réalisée sous la codirection de Jean-André Cancellieri, Professeur en histoire médiévale à l’Université de Corse, et Vannina Marchi Van Cauwelaert, Maître de conférences en histoire médiévale à l’Université de Corse. Elle se fonde sur une vingtaine d’années de recherches menées à l’Université de Corse (UMR CNRS 6240 LISA).
La notion de « lieu de mémoire » renvoie ici tout autant à la construction d’une mémoire mythique du Moyen Âge corse, transmise depuis le XVe siècle par la Chronique de Giovanni della Grossa, la tradition orale et la toponymie, qu’aux nombreuses traces matérielles que cette période a laissé dans les paysages insulaires et dont la mémoire s’est peu à peu effacée. L’exposition permet de cheminer à travers les paysages médiévaux de l’île et de découvrir les hommes, les objets, les archives, les oeuvres d’art et les légendes qui y sont rattachés, selon un itinéraire qui s’articule autour de trois thématiques : traces matérielles, figures humaines et héroïques, traces symboliques.
La notion de « lieu de mémoire » renvoie ici tout autant à la construction d’une mémoire mythique du Moyen Âge corse, transmise depuis le XVe siècle par la Chronique de Giovanni della Grossa, la tradition orale et la toponymie, qu’aux nombreuses traces matérielles que cette période a laissé dans les paysages insulaires et dont la mémoire s’est peu à peu effacée. L’exposition permet de cheminer à travers les paysages médiévaux de l’île et de découvrir les hommes, les objets, les archives, les oeuvres d’art et les légendes qui y sont rattachés, selon un itinéraire qui s’articule autour de trois thématiques : traces matérielles, figures humaines et héroïques, traces symboliques.
« Paci Eterna – Tombes et outre-tombe» , Musée de l’Alta Rocca, Livia
L’exposition « Paci Eterna- Tombes et outre-tombe » s’inscrit dans le cycle d’expositions prévu en 2021 et programmé dans les Musées de Sartè, Aleria et Merusaglia.
Celle-ci aborde les représentations liées à la mort, à travers les questions de sépulture, de motifs iconographiques, de testaments, de croyances dans l’au-delà, à travers plusieurs disciplines telles que l’archéologie, l’histoire de l’art ou encore l’ethnologie. La figure du squelette traverse l’exposition et constitue un fil directeur qui relie les diverses sections qui la constitue.
Celle-ci aborde les représentations liées à la mort, à travers les questions de sépulture, de motifs iconographiques, de testaments, de croyances dans l’au-delà, à travers plusieurs disciplines telles que l’archéologie, l’histoire de l’art ou encore l’ethnologie. La figure du squelette traverse l’exposition et constitue un fil directeur qui relie les diverses sections qui la constitue.