Lauda Guidicelli, Conseillère exécutive chargée de la jeunesse, des sports, de l'égalité femmes-hommes, de l’innovation sociale et du handicap a présenté la synthèse des rencontres du sport, le samedi 30 novembre à l’Université de Corse, à Corti.
Les Scontri di u sport se sont déroulés au début de l’année 2019 sur l’ensemble du territoire (Bastia, Corti, Portivechju et Aiacciu) avec une consultation en ligne. Ces rencontres, temps fort de la politique sportive de la Collectivité de Corse, ont été l’occasion d’échanger avec les acteurs du monde sportif sur les réalités territoriales et de préciser le futur règlement des aides.
Présidées par le Président du Conseil exécutif de Corse et la Conseillère exécutive chargée de la jeunesse, des sports, de l'égalité femmes-hommes, de l’innovation sociale et du handicap, elles ont abordé les quatre thématiques suivantes :
- le développement du sport : de l’initiation à la compétition ;
- le sport et les territoires : infrastructures et aménagements ;
- les pratiques sportives de nature : quels projets, pour quels territoires ;
- la place de l’événementiel et des manifestations sportives dans la politique sportive de la collectivité.
Cette journée de restitution est l’occasion de présenter le bilan de ces 4 thématiques.
Les Scontri di u sport se sont déroulés au début de l’année 2019 sur l’ensemble du territoire (Bastia, Corti, Portivechju et Aiacciu) avec une consultation en ligne. Ces rencontres, temps fort de la politique sportive de la Collectivité de Corse, ont été l’occasion d’échanger avec les acteurs du monde sportif sur les réalités territoriales et de préciser le futur règlement des aides.
Présidées par le Président du Conseil exécutif de Corse et la Conseillère exécutive chargée de la jeunesse, des sports, de l'égalité femmes-hommes, de l’innovation sociale et du handicap, elles ont abordé les quatre thématiques suivantes :
- le développement du sport : de l’initiation à la compétition ;
- le sport et les territoires : infrastructures et aménagements ;
- les pratiques sportives de nature : quels projets, pour quels territoires ;
- la place de l’événementiel et des manifestations sportives dans la politique sportive de la collectivité.
Cette journée de restitution est l’occasion de présenter le bilan de ces 4 thématiques.
La politique sportive de la Collectivité de Corse
Avec la promulgation de la loi du 22 janvier 2002, la Collectivité Territoriale de Corse disposait de la compétence en matière de promotion et de développement des activités physiques et sportives. Les aides financières étaient attribuées en application du règlement des aides sport voté par l’Assemblée de Corse en 2006. Concomitamment, les Conseils Départementaux mettaient également en œuvre des actions en faveur du sport, soit par le biais de la clause générale de compétence, soit dans le cadre de compétences spécifiques attribuées par le Code du Sport.
Depuis le 1er janvier 2018, ces compétences ont été transférées à la Collectivité de Corse qui soutient dès lors l’accessibilité à la pratique sportive, l’organisation de manifestations sportives ainsi que l’accompagnement des projets de développement et d’animation des clubs et du mouvement associatif. Un nouveau règlement des aides, harmonisant les différents dispositifs existants au sein des trois anciennes collectivités, a été adopté par l’Assemblée de Corse en mai 2018. Ce document est un règlement transitoire, une version définitive sera adoptée à l’issue d’un débat de fond avec les acteurs du monde sportif mené dans le cadre des « Scontri di u Sport ».
Par ailleurs, une nouvelle gouvernance du sport, qui impactera toutes les régions, est en cours à l’échelle nationale. Il s’agit donc pour la Collectivité de Corse de mener une réflexion pour notre territoire au regard de toutes ces adaptations et restructurations afin d’élaborer la nouvelle politique du sport dont elle entend se doter.
Depuis le 1er janvier 2018, ces compétences ont été transférées à la Collectivité de Corse qui soutient dès lors l’accessibilité à la pratique sportive, l’organisation de manifestations sportives ainsi que l’accompagnement des projets de développement et d’animation des clubs et du mouvement associatif. Un nouveau règlement des aides, harmonisant les différents dispositifs existants au sein des trois anciennes collectivités, a été adopté par l’Assemblée de Corse en mai 2018. Ce document est un règlement transitoire, une version définitive sera adoptée à l’issue d’un débat de fond avec les acteurs du monde sportif mené dans le cadre des « Scontri di u Sport ».
Par ailleurs, une nouvelle gouvernance du sport, qui impactera toutes les régions, est en cours à l’échelle nationale. Il s’agit donc pour la Collectivité de Corse de mener une réflexion pour notre territoire au regard de toutes ces adaptations et restructurations afin d’élaborer la nouvelle politique du sport dont elle entend se doter.
I scontri di u sport, une grande consultation innovante
Cette grande consultation innovante était attendue de l’ensemble du monde sportif. Elle a posé les bases du débat de fond que le Conseil exécutif de Corse a souhaité installer. Cette dynamique doit se poursuivre et permettre de co-construire, avec tous les acteurs, une politique sportive à la hauteur des enjeux pour le territoire. Elle permettra également d’animer et d’évaluer sa mise en œuvre pour un service public transversal qui croise la cohésion sociale, la santé, l’éducation, la citoyenneté, le développement durable, la jeunesse, le lien intergénérationnel, le développement économique, la formation...
L’utilisation de méthodes actives a permis de collecter puis de synthétiser les contributions de plus de 300 participants ainsi que les 49 contributions écrites postées dans la boite à idées prévue dans le cadre de la consultation en ligne.
Les axes stratégiques, objectifs opérationnels et préconisations qui en résultent constitueront les fondements de la politique sportive que la Collectivité de Corse déploiera autour :
La Collectivité de Corse, principal financeur du sport, est également le chef de file naturel du projet sportif territorial. La coordination des efforts de l’ensemble des acteurs du monde du sport, en particulier institutionnels, sera indispensable pour répondre aux attentes et besoins de l’ensemble de la population. Il s’agit donc de l’un des enjeux de la reconfiguration de la gouvernance territoriale.
L’utilisation de méthodes actives a permis de collecter puis de synthétiser les contributions de plus de 300 participants ainsi que les 49 contributions écrites postées dans la boite à idées prévue dans le cadre de la consultation en ligne.
Les axes stratégiques, objectifs opérationnels et préconisations qui en résultent constitueront les fondements de la politique sportive que la Collectivité de Corse déploiera autour :
- d’un règlement des aides définitif programmé pour le début de l’année 2020 ;
- d’un programme d’actions (animation, accompagnement, ingénierie de projets, animation de réseaux) développé sur le territoire ;
- de l’installation d’un rythme régulier de consultation des acteurs du territoire, destiné à adapter le plan d’action à l’évolution de leurs besoins.
La Collectivité de Corse, principal financeur du sport, est également le chef de file naturel du projet sportif territorial. La coordination des efforts de l’ensemble des acteurs du monde du sport, en particulier institutionnels, sera indispensable pour répondre aux attentes et besoins de l’ensemble de la population. Il s’agit donc de l’un des enjeux de la reconfiguration de la gouvernance territoriale.
Les réflexions proposées aux acteurs pours les quatre thématiques :
- Le développement du sport : de l’initiation à la compétition
Dans un contexte de profonde mutation, l’évaluation des enjeux sociologiques, éducatifs et économiques que le sport et les activités physiques vont générer dans les années à venir est primordiale. De plus, la perspective de l’organisation des Jeux Olympiques, à Paris en 2024, constitue aussi une opportunité quant au développement du « sport-santé », à l’accompagnement des pratiques, dont les pratiques innovantes.
L’intérêt social, sanitaire et éducatif du sport n’est plus à démontrer. Il apparaît comme l’un des moyens d’apprentissage des règles de la vie en société. Au-delà de la notion de « sport-santé » favorisant le bien-être de la population, il possède également des vertus dans le cadre du traitement de certaines pathologies.
La définition de nouvelles orientations pour une politique sportive territoriale volontariste, doit reposer, en premier lieu, sur le soutien à l’accès aux pratiques sportives pour le plus grand nombre. Cela signifie qu’il conviendra, en priorité, de s’attacher à atténuer autant que possible les inégalités dont pâtissent certaines catégories de la population. Pour autant, il ne s’agit pas de négliger le sport de compétition mais plutôt de le considérer comme l’aboutissement d’une véritable filière de formation et ainsi renforcer l’idée que la « fabrique » d’une élite n’a pas pour seul objectif d’alimenter le sport professionnel. En effet, au sein des championnats nationaux et régionaux, l’ensemble des pratiquants et des clubs doivent pouvoir trouver les conditions de leur épanouissement et de leur développement s’agissant des clubs.
- Le sport et les territoires : infrastructures et aménagements
La Corse se trouve aujourd’hui plongée dans une période de réorganisation institutionnelle et administrative, laquelle occasionne notamment des contraintes budgétaires. Cependant, dans cette nouvelle configuration, il existe la volonté de penser, de construire et de réussir un maillage cohérent du territoire.
Concernant les questions de financements, nous observons une évolution des co-financeurs, tant du point de vue de leur diversité que de leurs modalités/règles d’attribution des aides. Bon nombre d’équipements ont été conçus sans réflexion prospective préalable et globale. Ces équipements sportifs et leurs utilisations sont, d’un territoire à l’autre, très disparates tant en termes quantitatif que qualitatif. Des problèmes de conception, de malfaçon, et de coût de réalisation et/ou de fonctionnement empêchent souvent le bon déroulement de projets et l’activation de sources de financement. Ils sont souvent, également, inaccessibles aux personnes handicapées.
S’agissant de la typologie des propriétaires et/ou de gestionnaires, on constate que si la prégnance du secteur public (communaux, intercommunaux, régie, EPLE,…) demeure dominante, le secteur privé semble en plein développement (après les salles de remises en forme, c’est au tour des espaces dédiés au foot en salle, au squash, etc.). La gestion des équipements et leurs conditions d’accès sont hétérogènes ; les publics les fréquentant également. L’absence d’un diagnostic territorial actualisé sur l’état des infrastructures sportives et celle d’outils d’aide à la décision en matière de réalisations et de rénovations sont avérées. La Collectivité de Corse s’est emparée récemment de ce sujet.
- Les pratiques sportives de nature : quels projets, pour quels territoires ?
L’évolution des usages sociaux et la diversification des pratiques sportives et de loisirs auxquelles nous assistons depuis quelques années, est marquée par une très forte envie de « nature ». Aujourd’hui, un nombre croissant d’individus s’adonnent à ces activités. L’engagement au sein de clubs sportifs et sous des formes compétitives, n’y occupe qu’une place assez marginale. Ce sont, pour une immense majorité, des pratiquants auto-organisés qui mobilisent ces pratiques de sports et de loisirs.
Pour ces derniers, si liberté et autonomie sont revendiquées et assumées, dans le même temps, ils exigent un minimum de condition de sécurité.
Santé, bien-être, découverte des territoires, émotions, partage, défis, compétitions, etc. sont autant de motivations qui conduisent, d’une part, à (ré)inventer de nouveaux modes de fréquentation des sites naturels littoraux, ruraux, forestiers, montagnards et même citadins. Ces envies de « nature » variées, nombreuses et intenses ne sont pas sans conséquence sur des espaces naturels, soumis parfois à une pression importante alors que, dans le même temps, la qualité des milieux est exigée par ces mêmes pratiquants.
A l’évidence, les caractéristiques géomorphologiques de la Corse, la variété de ses paysages font de cette ile, avec toutefois des singularités plus localisées, un espace privilégié pour le développement de ces sports et loisirs de nature.
- La place de l’événementiel et des manifestations sportives dans la politique sportive de la collectivité
La Corse est une terre d’événements sportifs. Pour autant, dès lors que l’on s’intéresse de plus près à cette dimension singulière du sport, on observe combien, ces événements sont porteurs de différences.
S’agissant de « grands » événements, la Corse peut les accueillir de façon ponctuelle comme ce fût le cas en 2013 avec le départ du Tour de France cycliste ou de manière plus pérenne comme pour le WRC depuis 2015. L’accueil et l’aide publique apportés à de tels évènements sont souvent légitimés par leurs seuls impacts économiques et leurs retombées médiatiques. Dans le même temps, dans des territoires « carencés », des acteurs sportifs locaux innovent, souvent avec peu ou sans moyen, en portant des « petits » événements créant ainsi des dynamiques locales – sociales, sociétales, environnementales, voire économiques – originales et pertinentes.
Enfin, plus rarement, ces événements sont portés par des entités publiques, comme le Raid Oxy Jeunes Aventure – A sfida natura de la Culletività di Corsica, lequel s’inscrit pleinement dans les orientations d’un développement des sports de nature.
Ces événements et manifestations sportives ne participent pas tous des mêmes logiques, des mêmes dynamiques : certains sont liés à des qualifications/compétitions, d’autres mobilisent autour du niveau d’expertise et d’engagement sportif, d’autres enfin autour d’aspects plus patrimoniaux. Les porteurs sont également très divers : associatifs sportifs ou non, acteurs économiques, acteurs privés ou publics.
Dans le cadre de l’élaboration de la nouvelle politique sportive souhaitée par la Culletività di Corsica, la question des orientations stratégiques à retenir pour la programmation des évènements et des outils à formaliser pour les accompagner est importante.
Dans un contexte de profonde mutation, l’évaluation des enjeux sociologiques, éducatifs et économiques que le sport et les activités physiques vont générer dans les années à venir est primordiale. De plus, la perspective de l’organisation des Jeux Olympiques, à Paris en 2024, constitue aussi une opportunité quant au développement du « sport-santé », à l’accompagnement des pratiques, dont les pratiques innovantes.
L’intérêt social, sanitaire et éducatif du sport n’est plus à démontrer. Il apparaît comme l’un des moyens d’apprentissage des règles de la vie en société. Au-delà de la notion de « sport-santé » favorisant le bien-être de la population, il possède également des vertus dans le cadre du traitement de certaines pathologies.
La définition de nouvelles orientations pour une politique sportive territoriale volontariste, doit reposer, en premier lieu, sur le soutien à l’accès aux pratiques sportives pour le plus grand nombre. Cela signifie qu’il conviendra, en priorité, de s’attacher à atténuer autant que possible les inégalités dont pâtissent certaines catégories de la population. Pour autant, il ne s’agit pas de négliger le sport de compétition mais plutôt de le considérer comme l’aboutissement d’une véritable filière de formation et ainsi renforcer l’idée que la « fabrique » d’une élite n’a pas pour seul objectif d’alimenter le sport professionnel. En effet, au sein des championnats nationaux et régionaux, l’ensemble des pratiquants et des clubs doivent pouvoir trouver les conditions de leur épanouissement et de leur développement s’agissant des clubs.
- Le sport et les territoires : infrastructures et aménagements
La Corse se trouve aujourd’hui plongée dans une période de réorganisation institutionnelle et administrative, laquelle occasionne notamment des contraintes budgétaires. Cependant, dans cette nouvelle configuration, il existe la volonté de penser, de construire et de réussir un maillage cohérent du territoire.
Concernant les questions de financements, nous observons une évolution des co-financeurs, tant du point de vue de leur diversité que de leurs modalités/règles d’attribution des aides. Bon nombre d’équipements ont été conçus sans réflexion prospective préalable et globale. Ces équipements sportifs et leurs utilisations sont, d’un territoire à l’autre, très disparates tant en termes quantitatif que qualitatif. Des problèmes de conception, de malfaçon, et de coût de réalisation et/ou de fonctionnement empêchent souvent le bon déroulement de projets et l’activation de sources de financement. Ils sont souvent, également, inaccessibles aux personnes handicapées.
S’agissant de la typologie des propriétaires et/ou de gestionnaires, on constate que si la prégnance du secteur public (communaux, intercommunaux, régie, EPLE,…) demeure dominante, le secteur privé semble en plein développement (après les salles de remises en forme, c’est au tour des espaces dédiés au foot en salle, au squash, etc.). La gestion des équipements et leurs conditions d’accès sont hétérogènes ; les publics les fréquentant également. L’absence d’un diagnostic territorial actualisé sur l’état des infrastructures sportives et celle d’outils d’aide à la décision en matière de réalisations et de rénovations sont avérées. La Collectivité de Corse s’est emparée récemment de ce sujet.
- Les pratiques sportives de nature : quels projets, pour quels territoires ?
L’évolution des usages sociaux et la diversification des pratiques sportives et de loisirs auxquelles nous assistons depuis quelques années, est marquée par une très forte envie de « nature ». Aujourd’hui, un nombre croissant d’individus s’adonnent à ces activités. L’engagement au sein de clubs sportifs et sous des formes compétitives, n’y occupe qu’une place assez marginale. Ce sont, pour une immense majorité, des pratiquants auto-organisés qui mobilisent ces pratiques de sports et de loisirs.
Pour ces derniers, si liberté et autonomie sont revendiquées et assumées, dans le même temps, ils exigent un minimum de condition de sécurité.
Santé, bien-être, découverte des territoires, émotions, partage, défis, compétitions, etc. sont autant de motivations qui conduisent, d’une part, à (ré)inventer de nouveaux modes de fréquentation des sites naturels littoraux, ruraux, forestiers, montagnards et même citadins. Ces envies de « nature » variées, nombreuses et intenses ne sont pas sans conséquence sur des espaces naturels, soumis parfois à une pression importante alors que, dans le même temps, la qualité des milieux est exigée par ces mêmes pratiquants.
A l’évidence, les caractéristiques géomorphologiques de la Corse, la variété de ses paysages font de cette ile, avec toutefois des singularités plus localisées, un espace privilégié pour le développement de ces sports et loisirs de nature.
- La place de l’événementiel et des manifestations sportives dans la politique sportive de la collectivité
La Corse est une terre d’événements sportifs. Pour autant, dès lors que l’on s’intéresse de plus près à cette dimension singulière du sport, on observe combien, ces événements sont porteurs de différences.
S’agissant de « grands » événements, la Corse peut les accueillir de façon ponctuelle comme ce fût le cas en 2013 avec le départ du Tour de France cycliste ou de manière plus pérenne comme pour le WRC depuis 2015. L’accueil et l’aide publique apportés à de tels évènements sont souvent légitimés par leurs seuls impacts économiques et leurs retombées médiatiques. Dans le même temps, dans des territoires « carencés », des acteurs sportifs locaux innovent, souvent avec peu ou sans moyen, en portant des « petits » événements créant ainsi des dynamiques locales – sociales, sociétales, environnementales, voire économiques – originales et pertinentes.
Enfin, plus rarement, ces événements sont portés par des entités publiques, comme le Raid Oxy Jeunes Aventure – A sfida natura de la Culletività di Corsica, lequel s’inscrit pleinement dans les orientations d’un développement des sports de nature.
Ces événements et manifestations sportives ne participent pas tous des mêmes logiques, des mêmes dynamiques : certains sont liés à des qualifications/compétitions, d’autres mobilisent autour du niveau d’expertise et d’engagement sportif, d’autres enfin autour d’aspects plus patrimoniaux. Les porteurs sont également très divers : associatifs sportifs ou non, acteurs économiques, acteurs privés ou publics.
Dans le cadre de l’élaboration de la nouvelle politique sportive souhaitée par la Culletività di Corsica, la question des orientations stratégiques à retenir pour la programmation des évènements et des outils à formaliser pour les accompagner est importante.