Le 9 mai 2021, jour de la fête de l'Europe, s'est tenue à Strasbourg la cérémonie d'ouverture de la "Conférence sur le futur de l'Europe".
A cette occasion, Emmanuel Macron (Président de la France), David Sassoli (Président du Parlement Européen), Antonio Costa (Premier Ministre du Portugal, et Président actuel du Conseil de l'Europe), ainsi qu'Ursula von der Leyen (Présidente de la Commission Européenne) se sont réunis au Parlement Européen accompagnés de ministres des Affaires Européennes, d'étudiants Erasmus et de plus de 500 spectateurs (via visioconférence) afin de débattre et répondre aux questions relatives au futur de l'Europe.
"LE PLUS BEAU MÉTIER DE L'HOMME EST LE MÉTIER D'UNIR LES HOMMES" - ANTOINE DE ST EXUPÉRY
A cette occasion, Emmanuel Macron (Président de la France), David Sassoli (Président du Parlement Européen), Antonio Costa (Premier Ministre du Portugal, et Président actuel du Conseil de l'Europe), ainsi qu'Ursula von der Leyen (Présidente de la Commission Européenne) se sont réunis au Parlement Européen accompagnés de ministres des Affaires Européennes, d'étudiants Erasmus et de plus de 500 spectateurs (via visioconférence) afin de débattre et répondre aux questions relatives au futur de l'Europe.
"LE PLUS BEAU MÉTIER DE L'HOMME EST LE MÉTIER D'UNIR LES HOMMES" - ANTOINE DE ST EXUPÉRY
Cérémonie de lancement de la Conférence sur le "Futur de l'Europe"
Si cette cérémonie inaugurale a été rythmée par la citation "le futur est entre nos mains" de Robert Schuman, l'un des pères fondateurs de l'Union Européenne (UE) ; les Présidents en présence ont néanmoins eu tour à tour à coeur d'indiquer que "l'Union Européenne ne se fera pas d'un coup".
La pandémie liée au COVID-19, la crise des migrants, la crise économique sont en effet venus rappeler avec acuité combien l'unité de l'UE est essentielle pour répondre aux défis contemporains.
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne évoque ainsi l'idée que l'Union Européenne "ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction", tandis qu'Antonio Costa définit l'Union européenne par une "volonté d'avancer en dépit des problèmes qui minent notre cohésion" .
Le choix du lieu de cette cérémonie n'a pas été remis au hasard. Selon Emmanuel Macron Strasbourg est la "ville de la réconciliation, symbole vivant de cette Union Européenne qui a refusé la guerre pour construire la paix, qui a remplacé l'occupation par la coopération". Ainsi, pour le Président français, l'UE doit faire preuve de solidarité pour les défis d'aujourd'hui et de demain : de la vaccination à la transition verte et numérique en passant par les sujets de l'industrie de l'avenir. Aux yeux de ce dernier, il importe surtout que l'Europe retrouve son aspiration démocratique collective, car celle-ci est garante d'une vision commune. Davis Sassoli appuie ce propos en indiquant que "nous devons penser à la démocratie", dans la mesure où celle-ci permet de prendre des décisions rapides et d'apporter des réponses aux besoins tangibles des citoyens.
Cette cérémonie a en cela été l'occasion de rappeler les valeurs fondatrices défendues par l'UE : l'égalité femmes-hommes, l'Etat de droits, la participation de tous au processus démocratique.
Eu égard au fait que l'UE a été fondée sur une vision commune, la Présidente de la Commission Européenne clôture cette cérémonie sur l'idée que l'UE doit être "ce que les européens veulent qu'elle soit".
La Conférence sur le futur de l'Europe s'inscrit ainsi dans une volonté de rapprocher l'ensemble des citoyens européens, et particulièrement la jeunesse, autour d'une ambition commune, celle de façonner l'avenir.
La pandémie liée au COVID-19, la crise des migrants, la crise économique sont en effet venus rappeler avec acuité combien l'unité de l'UE est essentielle pour répondre aux défis contemporains.
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne évoque ainsi l'idée que l'Union Européenne "ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction", tandis qu'Antonio Costa définit l'Union européenne par une "volonté d'avancer en dépit des problèmes qui minent notre cohésion" .
Le choix du lieu de cette cérémonie n'a pas été remis au hasard. Selon Emmanuel Macron Strasbourg est la "ville de la réconciliation, symbole vivant de cette Union Européenne qui a refusé la guerre pour construire la paix, qui a remplacé l'occupation par la coopération". Ainsi, pour le Président français, l'UE doit faire preuve de solidarité pour les défis d'aujourd'hui et de demain : de la vaccination à la transition verte et numérique en passant par les sujets de l'industrie de l'avenir. Aux yeux de ce dernier, il importe surtout que l'Europe retrouve son aspiration démocratique collective, car celle-ci est garante d'une vision commune. Davis Sassoli appuie ce propos en indiquant que "nous devons penser à la démocratie", dans la mesure où celle-ci permet de prendre des décisions rapides et d'apporter des réponses aux besoins tangibles des citoyens.
Cette cérémonie a en cela été l'occasion de rappeler les valeurs fondatrices défendues par l'UE : l'égalité femmes-hommes, l'Etat de droits, la participation de tous au processus démocratique.
Eu égard au fait que l'UE a été fondée sur une vision commune, la Présidente de la Commission Européenne clôture cette cérémonie sur l'idée que l'UE doit être "ce que les européens veulent qu'elle soit".
La Conférence sur le futur de l'Europe s'inscrit ainsi dans une volonté de rapprocher l'ensemble des citoyens européens, et particulièrement la jeunesse, autour d'une ambition commune, celle de façonner l'avenir.