U Museu
À l’occasion du retour des cendres de Pasquale Paoli en 1889, sa maison natale devient musée. Celui-ci porte le label « Maison des Illustres » et l’appellation « Musée de France ». Actuellement centré sur le personnage de Paoli, le projet scientifique et culturel du musée prévoit de replacer l’action du Général dans le contexte historique et social du siècle des Lumières. Le musée Pasquale Paoli sera un lieu de connaissances de l’humanisme, de la citoyenneté, en miroir des actes fondateurs accomplis par le personnage, à travers leur retentissement dans l’Europe de l’époque et des siècles suivants.
La situation de la maison natale est l’occasion également de valoriser, à l’échelle régionale, le patrimoine local, et plus précisément l’artisanat de la Castagniccia, en lien avec le projet de valorisation du territoire, la Strada Paolina, piloté par le musée. Dans cette optique le musée met en oeuvre une modernisation de la muséographie qui répond à la fois à la préoccupation de la conservation des collections et aux nouvelles pratiques de visite des publics.
La première exposition du musée Pasquale Paoli sera pérennisée et fera partie intégrante du nouveau parcours permanent du musée.
« Pasquale Paoli un mythe fondateur » s’inscrit dans le cycle d’expositions de 2021 et 2022 portant sur les questions de sépultures et de l’après-mort, programmé également dans les musées de Sartè, Aleria et Livia, tous « Musées de France » gérés par la Collectivité de Corse.
Le musée proposera ensuite en 2023 une exposition sur la formation intellectuelle de Pasquale Paoli. Après avoir appris les rudiments au couvent des observantins de Merusaglia, c’est dans l’atmosphère intellectuelle de Naples, que s’est forgé le génie de Paoli, où entre 1745 et 1749, alors qu’il étudie à l’Académie Royale d’artillerie, s’affirment quelques-uns des aspects majeurs du pré-illuminismo italien. Il suit les cours d’histoire d’ Antonio Genovesi, un des grands penseurs du XVIII siècle, et découvre L’Esprit des lois de Montesquieu, qui aura une grande influence sur sa pensée, la pensée anglaise et particulièrement la pensée déiste, et deux ouvrages de Machiavel,
Le Prince mais aussi le très républicain Discours sur la première décade de Tite-Live. Si Pasquale Paoli connaît bien les auteurs classiques, sa correspondance nous apprend qu’il lit aussi les auteurs contemporains et, que pendant son dernier exil à Londres, il évolue dans un milieu intellectuel résolument moderne, fréquentant des auteurs, mais aussi des poètes, des acteurs et des peintres
La même année se tiendra l’exposition Donne dans l’ensemble des musées de la Collectivité de Corse. Le musée Paoli a choisi le sujet de Maria Cosway (1760-1838), avec qui le Général a entretenu une abondante correspondance. L’union de Maria avec le peintre Richard Cosway a d’abord permis à son travail d’artiste d’atteindre une certaine notoriété en lui permettant d’exposer pendant plusieurs années à l’Académie. Après la naissance de sa fille, elle renonça à sa carrière d’artiste peintre au profit d’un rôle de pédagogue à destination des jeunes filles. Elle put ouvrir une première école à Lyon grâce au soutien du cardinal Fesch. L’exposition montrera comment les relations mondaines, artistiques et politiques de Maria ont contribué à la réalisation de ses aspirations, à l’époque où s’amorce la féminisation de l'espace artistique.
En 2024, le musée consacrera une exposition à James Boswell, avocat écossais qui, après sa rencontre en Corse avec Pasquale Paoli à qui il était venu rendre visite sur les recommandations de Jean-Jacques Rousseau, a publié en 1768 Account of Corsica, The Journal of a Tour to that Island and Memories of Pascal Paoli, contribuant à faire connaître le Général dans l’Europe entière.
2025, année du tricentenaire de la naissance de Paoli, sera riche de rencontres et de conférences jusqu’à l’ouverture d’une grande exposition.
Pour répondre au nouveau propos du musée, des acquisitions ont d’ores et déjà été réalisées auprès de maisons de
vente et de galeries en 2021, rassemblant des cartes de géographie du XVIII siècle, des lettres de Paoli, et un très beau
portrait miniature de Pascal Paoli par Sophie Liénard (XIX siècle) peint sur porcelaine. Des oeuvres inédites complètent donc le fonds du musée.
La situation de la maison natale est l’occasion également de valoriser, à l’échelle régionale, le patrimoine local, et plus précisément l’artisanat de la Castagniccia, en lien avec le projet de valorisation du territoire, la Strada Paolina, piloté par le musée. Dans cette optique le musée met en oeuvre une modernisation de la muséographie qui répond à la fois à la préoccupation de la conservation des collections et aux nouvelles pratiques de visite des publics.
La première exposition du musée Pasquale Paoli sera pérennisée et fera partie intégrante du nouveau parcours permanent du musée.
« Pasquale Paoli un mythe fondateur » s’inscrit dans le cycle d’expositions de 2021 et 2022 portant sur les questions de sépultures et de l’après-mort, programmé également dans les musées de Sartè, Aleria et Livia, tous « Musées de France » gérés par la Collectivité de Corse.
Le musée proposera ensuite en 2023 une exposition sur la formation intellectuelle de Pasquale Paoli. Après avoir appris les rudiments au couvent des observantins de Merusaglia, c’est dans l’atmosphère intellectuelle de Naples, que s’est forgé le génie de Paoli, où entre 1745 et 1749, alors qu’il étudie à l’Académie Royale d’artillerie, s’affirment quelques-uns des aspects majeurs du pré-illuminismo italien. Il suit les cours d’histoire d’ Antonio Genovesi, un des grands penseurs du XVIII siècle, et découvre L’Esprit des lois de Montesquieu, qui aura une grande influence sur sa pensée, la pensée anglaise et particulièrement la pensée déiste, et deux ouvrages de Machiavel,
Le Prince mais aussi le très républicain Discours sur la première décade de Tite-Live. Si Pasquale Paoli connaît bien les auteurs classiques, sa correspondance nous apprend qu’il lit aussi les auteurs contemporains et, que pendant son dernier exil à Londres, il évolue dans un milieu intellectuel résolument moderne, fréquentant des auteurs, mais aussi des poètes, des acteurs et des peintres
La même année se tiendra l’exposition Donne dans l’ensemble des musées de la Collectivité de Corse. Le musée Paoli a choisi le sujet de Maria Cosway (1760-1838), avec qui le Général a entretenu une abondante correspondance. L’union de Maria avec le peintre Richard Cosway a d’abord permis à son travail d’artiste d’atteindre une certaine notoriété en lui permettant d’exposer pendant plusieurs années à l’Académie. Après la naissance de sa fille, elle renonça à sa carrière d’artiste peintre au profit d’un rôle de pédagogue à destination des jeunes filles. Elle put ouvrir une première école à Lyon grâce au soutien du cardinal Fesch. L’exposition montrera comment les relations mondaines, artistiques et politiques de Maria ont contribué à la réalisation de ses aspirations, à l’époque où s’amorce la féminisation de l'espace artistique.
En 2024, le musée consacrera une exposition à James Boswell, avocat écossais qui, après sa rencontre en Corse avec Pasquale Paoli à qui il était venu rendre visite sur les recommandations de Jean-Jacques Rousseau, a publié en 1768 Account of Corsica, The Journal of a Tour to that Island and Memories of Pascal Paoli, contribuant à faire connaître le Général dans l’Europe entière.
2025, année du tricentenaire de la naissance de Paoli, sera riche de rencontres et de conférences jusqu’à l’ouverture d’une grande exposition.
Pour répondre au nouveau propos du musée, des acquisitions ont d’ores et déjà été réalisées auprès de maisons de
vente et de galeries en 2021, rassemblant des cartes de géographie du XVIII siècle, des lettres de Paoli, et un très beau
portrait miniature de Pascal Paoli par Sophie Liénard (XIX siècle) peint sur porcelaine. Des oeuvres inédites complètent donc le fonds du musée.
Parcours de l'exposition
Le fils du chef
Fils cadet de Giacinto Paoli et de Dionisia Valentini, Filippu Antone Pasquale naît dans le hameau dit « a Stretta » du village de Merusaglia, dans une Corse alors sous domination génoise.
Si l’enfance de Pasquale Paoli est assez mal connue, elle se déroule néanmoins dans le climat insurrectionnel qui embrase l’île au même moment. En 1729, la Corse se révolte contre la domination génoise.
Le 8 janvier 1735 lors de la consulta d’Orezza, son père Giacinto Paoli, Andrea Ceccaldi et Don Luigi Giafferi sont élus à la tête du gouvernement. Gènes décide alors de faire appel à la France afin de soumettre les insurgés.
Après l’intermède du roi Théodore, un corps expéditionnaire français commandé par De Boissieux débarque en Corse en 1738 mais se trouve défait à Borgu. Envoyé par le roi en remplacement de De Boissieux, Maillebois finit par rétablir la situation au profit de Gènes.
En juillet 1739, les principaux chefs doivent s’exiler. Âgé de 14 ans, Pasquale Paoli s’embarque avec son père en direction de Naples. Il y acquiert une solide formation intellectuelle, sous l’influence de l’illuminismo italien.
La construction de l’État corse
L’assassinat de Giovan Pietro Gaffori en octobre 1753 précipite le retour en Corse de Pasquale Paoli. Alors officier au service du royaume de Naples en garnison à l’île d’Elbe, ce dernier débarque sur l’île au printemps 1755.
Lors de la consulta de Sant’Antone di a Casabianca des 12-14 juillet, Paoli est élu Capo Générale della Nazione. Tout en menant une guerre contre son rival Mario Emmanuelle Matra (1755-1757) et contre la Sérenissime République, il entreprend la construction de l’État corse moderne.
Fondement de cette république naissante, la constitution de 1755 affirme la souveraineté populaire et nationale, et repose sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Paoli développa une armée et fit frapper une monnaie à Muratu.
Enfin, parmi les réussites du gouvernement figure incontestablement l’université de Corti qui ouvre ses portes le 3 janvier 1765.
En somme, même si le système électoral favorisa davantage les élites et que la séparation des pouvoirs restait relative, la Corse devint à ce moment-là un puissant laboratoire politique du siècle des Lumières.
Fils cadet de Giacinto Paoli et de Dionisia Valentini, Filippu Antone Pasquale naît dans le hameau dit « a Stretta » du village de Merusaglia, dans une Corse alors sous domination génoise.
Si l’enfance de Pasquale Paoli est assez mal connue, elle se déroule néanmoins dans le climat insurrectionnel qui embrase l’île au même moment. En 1729, la Corse se révolte contre la domination génoise.
Le 8 janvier 1735 lors de la consulta d’Orezza, son père Giacinto Paoli, Andrea Ceccaldi et Don Luigi Giafferi sont élus à la tête du gouvernement. Gènes décide alors de faire appel à la France afin de soumettre les insurgés.
Après l’intermède du roi Théodore, un corps expéditionnaire français commandé par De Boissieux débarque en Corse en 1738 mais se trouve défait à Borgu. Envoyé par le roi en remplacement de De Boissieux, Maillebois finit par rétablir la situation au profit de Gènes.
En juillet 1739, les principaux chefs doivent s’exiler. Âgé de 14 ans, Pasquale Paoli s’embarque avec son père en direction de Naples. Il y acquiert une solide formation intellectuelle, sous l’influence de l’illuminismo italien.
La construction de l’État corse
L’assassinat de Giovan Pietro Gaffori en octobre 1753 précipite le retour en Corse de Pasquale Paoli. Alors officier au service du royaume de Naples en garnison à l’île d’Elbe, ce dernier débarque sur l’île au printemps 1755.
Lors de la consulta de Sant’Antone di a Casabianca des 12-14 juillet, Paoli est élu Capo Générale della Nazione. Tout en menant une guerre contre son rival Mario Emmanuelle Matra (1755-1757) et contre la Sérenissime République, il entreprend la construction de l’État corse moderne.
Fondement de cette république naissante, la constitution de 1755 affirme la souveraineté populaire et nationale, et repose sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Paoli développa une armée et fit frapper une monnaie à Muratu.
Enfin, parmi les réussites du gouvernement figure incontestablement l’université de Corti qui ouvre ses portes le 3 janvier 1765.
En somme, même si le système électoral favorisa davantage les élites et que la séparation des pouvoirs restait relative, la Corse devint à ce moment-là un puissant laboratoire politique du siècle des Lumières.
1769 La bataille de Ponte Novu, la fin de l’État corse souverain
Toujours propriétaire légale de l’île mais criblée de dettes, Gènes s’adresse une nouvelle fois à la France.
Par le traité de Versailles signé le 15 mai 1768, la France prête deux millions de livres à la Sérénissime République, qui donne en garantie la Corse. À l’été 1768, les troupes françaises organisent la conquête de la Corse.
Durant plusieurs mois, les insulaires livrent une forte résistance, ponctuée notamment par la victoire de Borgu du 5 octobre 1768. Louis XV envoie alors une armée de 22 000 hommes commandés par le comte de Vaux.
Paoli n’a pas les moyens militaires de s’opposer aux troupes de Vaux, appuyées par une très forte et moderne artillerie. De nombreuses pieve annoncent leur soumission. Les troupes paolistes sont finalement défaites à la bataille de Ponte Novu le 8 mai 1769.
Du retour triomphal au royaume anglo-corse
L’avènement de la Révolution française précipite le retour de Paoli sur la scène politique. Le 30 novembre 1789, l’Assemblée Nationale Constituante déclare la Corse « partie intégrante de l’Empire français ». Paoli reçoit d’abord à Paris un accueil triomphal à l’Assemblée nationale et à la Société des amis de la Constitution (futurs Jacobins).
Il arrive le 14 juillet 1790 en Corse à Macinaghju et se voit reçu en héros dans les principales villes. Cependant, les relations se dégradent rapidement entre la Convention et Paoli. Ce dernier décide alors de se tourner vers l’Angleterre.
La constitution du Royaume anglo-corse est adoptée en juin 1794, elle fait du roi George III le titulaire du pouvoir législatif tandis que le pouvoir exécutif est détenu par un vice-roi, en la personne de Sir Gilbert Elliot. À la tête du Conseil d’État, Charles Pozzo di Borgo est le seul insulaire à occuper de hautes fonctions.
Écarté du pouvoir, Paoli va alors mener une vigoureuse opposition populaire sur l’île. Rappelé à Londres, il rejoint l’Angleterre et ne reverra jamais la Corse.
Toujours propriétaire légale de l’île mais criblée de dettes, Gènes s’adresse une nouvelle fois à la France.
Par le traité de Versailles signé le 15 mai 1768, la France prête deux millions de livres à la Sérénissime République, qui donne en garantie la Corse. À l’été 1768, les troupes françaises organisent la conquête de la Corse.
Durant plusieurs mois, les insulaires livrent une forte résistance, ponctuée notamment par la victoire de Borgu du 5 octobre 1768. Louis XV envoie alors une armée de 22 000 hommes commandés par le comte de Vaux.
Paoli n’a pas les moyens militaires de s’opposer aux troupes de Vaux, appuyées par une très forte et moderne artillerie. De nombreuses pieve annoncent leur soumission. Les troupes paolistes sont finalement défaites à la bataille de Ponte Novu le 8 mai 1769.
Du retour triomphal au royaume anglo-corse
L’avènement de la Révolution française précipite le retour de Paoli sur la scène politique. Le 30 novembre 1789, l’Assemblée Nationale Constituante déclare la Corse « partie intégrante de l’Empire français ». Paoli reçoit d’abord à Paris un accueil triomphal à l’Assemblée nationale et à la Société des amis de la Constitution (futurs Jacobins).
Il arrive le 14 juillet 1790 en Corse à Macinaghju et se voit reçu en héros dans les principales villes. Cependant, les relations se dégradent rapidement entre la Convention et Paoli. Ce dernier décide alors de se tourner vers l’Angleterre.
La constitution du Royaume anglo-corse est adoptée en juin 1794, elle fait du roi George III le titulaire du pouvoir législatif tandis que le pouvoir exécutif est détenu par un vice-roi, en la personne de Sir Gilbert Elliot. À la tête du Conseil d’État, Charles Pozzo di Borgo est le seul insulaire à occuper de hautes fonctions.
Écarté du pouvoir, Paoli va alors mener une vigoureuse opposition populaire sur l’île. Rappelé à Londres, il rejoint l’Angleterre et ne reverra jamais la Corse.
ILLUMINISIMU
Une œuvre d’art, ILLUMINISIMU, signée Dumè Paolini, sculpteur et Plasticien Corse, créée en hommage au grand visionnaire qu’est Pasquale Paoli, vient d’être érigée à Morosaglia, devant le musée entièrement dévoué au père de la patrie.
Dumè Paolini a dans son parcours réalisé de nombreuses créations de part le monde, Australie, Suisse, Italie, France, et c’est avec une immense fierté qu’il livre aujourd’hui le fruit de son inspiration.
« Je suis tellement heureux et fier de l’opportunité qui m’a été donnée de pouvoir exprimer toute l’admiration que j’ai pour ce grand homme Pasquale Paoli, qui a su faire résonner les valeurs de la Corse au sein du Monde ».
Pour réaliser cette œuvre, c’est plus de 6 mois de travail, près de 2000 pièces soudées, une passion sans faille pour son travail et son engagement.
ILLUMINISIMU reflète notre île, la transcende, et lorsque l’on arrive au Musée à Morosaglia, une douce surprise vient nous accueillir, les contours de l’île qui se dessinent parfaitement au fur et à mesure de notre avancée.
Gageons que la présence de cette création pourra attirer encore plus de visiteurs et de curieux, sur les chemins du grand visionnaire qu’est Pasquale Paoli.
Renseignements pratiques
Musée maison natale Pasquale Paoli
Hameau de Stretta
20218 Morosaglia
Tel : 04 95 61 04 97
Horaires d’ouverture
-Du 1 er oct. au 15 mai 10h00 /17h00 (Du lundi au samedi)
-Du 16 Mai au 30 sept. 10h00/18h00 (Du mardi au dimanche)
Fermé les jours fériés sauf 14 juillet et 15 août.
Tarifs
Plein Tarif : 4€
Tarif Réduit sur présentations de justificatifs : 3€
Gratuit sur présentations de justificatifs :
Activités pédagogiques
Visites commentées et ateliers à destination du jeune public
Réservation obligatoire
Tel : 04 95 61 04 97
Contact : leria.BATTESTI@isula.corsica
Visites commentées
Visites commentées de l’exposition à destination des groupes
Réservation obligatoire
Tel : 04 95 61 04 97
Contact : leria.BATTESTI@isula.corsica
Hameau de Stretta
20218 Morosaglia
Tel : 04 95 61 04 97
Horaires d’ouverture
-Du 1 er oct. au 15 mai 10h00 /17h00 (Du lundi au samedi)
-Du 16 Mai au 30 sept. 10h00/18h00 (Du mardi au dimanche)
Fermé les jours fériés sauf 14 juillet et 15 août.
Tarifs
Plein Tarif : 4€
Tarif Réduit sur présentations de justificatifs : 3€
- Senior (+65 ans).
- Enfants et jeunes adultes (de 10 ans à 25 ans).
- Etudiants.
- Groupes (10 personnes minimum).
- Familles (minimum 4, 2 adultes +2 enfants).
Tarif Tour Operator 2.50€ - Enfants et jeunes adultes (de 10 ans à 25 ans).
- Etudiants.
- Groupes (10 personnes minimum).
- Familles (minimum 4, 2 adultes +2 enfants).
Gratuit sur présentations de justificatifs :
-Enfants de moins de 10 ans.
-Demandeurs d’emploi.
-Groupes Scolaires.
-Moins de 25 ans domiciliés en Corse.
-Guide avec cartes et Enseignants.
-Porteurs de la carte ICOM –ICOMOS.
-Professionnels du patrimoine.
-Etudiants en Histoire, Histoire de l’art et Archéologie.
-Les amis des Musées de Corse.
-Personnes porteuses d’un handicap et leurs accompagnateurs.
-Personnels de la Collectivité de Corse
Gratuit les 2 premiers dimanches de décembre -Demandeurs d’emploi.
-Groupes Scolaires.
-Moins de 25 ans domiciliés en Corse.
-Guide avec cartes et Enseignants.
-Porteurs de la carte ICOM –ICOMOS.
-Professionnels du patrimoine.
-Etudiants en Histoire, Histoire de l’art et Archéologie.
-Les amis des Musées de Corse.
-Personnes porteuses d’un handicap et leurs accompagnateurs.
-Personnels de la Collectivité de Corse
Activités pédagogiques
Visites commentées et ateliers à destination du jeune public
Réservation obligatoire
Tel : 04 95 61 04 97
Contact : leria.BATTESTI@isula.corsica
Visites commentées
Visites commentées de l’exposition à destination des groupes
Réservation obligatoire
Tel : 04 95 61 04 97
Contact : leria.BATTESTI@isula.corsica