René Viale, qui nous a quitté restera comme une des figures emblématiques du 7ème art en Corse, amateur de tous les genres, grand cinéphile il fut ce «passeur» infatigable et généreux attaché à partager sa passion avec tous.
Personnalité forte et engagée, il a consacré sa vie à faire connaître, comprendre l’art cinématographique par son travail dans son cinéma le studio, salle historique, bien sûr, où il accompagnait en diffusant leurs premières créations, les jeunes réalisateurs corses ,mais aussi à travers l’organisation de circuits de diffusion de films art et essai dans les villes et les campagnes et grâce à sa participation à la fondation des principaux festivals...
Le festival du cinéma italien de Bastia, qu’il animait depuis 30 ans est devenu un moment privilégié d’échanges, de rencontres, de découvertes, convivial et populaire. Mais l’essentiel à ses yeux et sans doute un de ses plus grands mérites a été son action auprès des jeunes publics pour l’éducation à l’image et la formation du regard.
Le cinéma existe surtout par son public, un public que René Viale voulait sensibilisé et averti. Nous regretterons de ne plus voir, sa silhouette « à l’italienne »sillonner sur sa Vespa les rues de Bastia.
René Viale ci hà apertu porte, universi, mondi, quelli di « a fabbrica di i sonnii »…
Ti ringraziemu, René, d’avè ci fattu sunnià è d’avè ci fattu scopre tutti i sinemà.
U CESEC manda e so parte afflitte à a so famiglia, à i so amichi, à i so cullaburatori.
Le festival du cinéma italien de Bastia, qu’il animait depuis 30 ans est devenu un moment privilégié d’échanges, de rencontres, de découvertes, convivial et populaire. Mais l’essentiel à ses yeux et sans doute un de ses plus grands mérites a été son action auprès des jeunes publics pour l’éducation à l’image et la formation du regard.
Le cinéma existe surtout par son public, un public que René Viale voulait sensibilisé et averti. Nous regretterons de ne plus voir, sa silhouette « à l’italienne »sillonner sur sa Vespa les rues de Bastia.
René Viale ci hà apertu porte, universi, mondi, quelli di « a fabbrica di i sonnii »…
Ti ringraziemu, René, d’avè ci fattu sunnià è d’avè ci fattu scopre tutti i sinemà.
U CESEC manda e so parte afflitte à a so famiglia, à i so amichi, à i so cullaburatori.
