Les années 2020 et 2021, furent et sont encore affectées par une crise multisectorielle planétaire sans précédent.
La crise d’abord sanitaire, puis globale, inédite que nous avons traversée, a eu de graves conséquences humaines, sociétales, économiques, sociales, environnementales et culturelles, qui ont mis à l’épreuve le fonctionnement de nos sociétés.
La survenue soudaine d’un virus inconnu a ainsi profondément bouleversé la vie de chacun, révélant la fragilité et l’incertitude de notre monde.
Les changements profonds de l’économie mondiale qui ont, depuis quelques décennies, généré mondialisation, financiarisation, numérisation accélérée, interdépendance accrue des états entre eux, etc., ont rendu le « système » extrêmement vulnérable « aux chocs d’incertitudes » et démontré ses limites.
Les questionnements déjà présents dans l’espace public avant la pandémie, sur ce modèle de développement, qui met en péril
la planète, le vivant, l’humanité même, incitent à envisager de complètement le modifier à l’aune d’autres valeurs que celles actuellement à l’oeuvre : croissance infinie, concurrence, rentabilité, profit, etc. Penser l’après, prendre une nouvelle voie, plus
soutenable, plus solidaire, plus inclusive, est devenu un impératif qui a conduit le CESEC de Corse à mener une réflexion ambitieuse de nature à proposer des perspectives contribuant à impulser un « changement de paradigme » pour notre ile.
« Cambià u Campà » est la troisième expression du Conseil qui avait initialement décidé de trois niveaux de réponse concernant les conséquences de la pandémie et les solutions pouvant être proposées, se mobilisant dans les missions qui lui sont dévolues, pour apporter, à sa mesure, sa contribution.
Trois rapports réalisés en trois temps : le temps de l’urgence , celui de la sauvegarde et de la relance et enfin celui de la prospective.
En s’adaptant aux contraintes et en évoluant dans ses pratiques afin d’accomplir pleinement sa mission d’instance consultative au service de notre territoire et de nos concitoyens, la crise n’a pas en effet empêché le conseil de poursuivre son activité [...]
Rapport adopté à l"unanimité le 26 octobre 2021.
La crise d’abord sanitaire, puis globale, inédite que nous avons traversée, a eu de graves conséquences humaines, sociétales, économiques, sociales, environnementales et culturelles, qui ont mis à l’épreuve le fonctionnement de nos sociétés.
La survenue soudaine d’un virus inconnu a ainsi profondément bouleversé la vie de chacun, révélant la fragilité et l’incertitude de notre monde.
Les changements profonds de l’économie mondiale qui ont, depuis quelques décennies, généré mondialisation, financiarisation, numérisation accélérée, interdépendance accrue des états entre eux, etc., ont rendu le « système » extrêmement vulnérable « aux chocs d’incertitudes » et démontré ses limites.
Les questionnements déjà présents dans l’espace public avant la pandémie, sur ce modèle de développement, qui met en péril
la planète, le vivant, l’humanité même, incitent à envisager de complètement le modifier à l’aune d’autres valeurs que celles actuellement à l’oeuvre : croissance infinie, concurrence, rentabilité, profit, etc. Penser l’après, prendre une nouvelle voie, plus
soutenable, plus solidaire, plus inclusive, est devenu un impératif qui a conduit le CESEC de Corse à mener une réflexion ambitieuse de nature à proposer des perspectives contribuant à impulser un « changement de paradigme » pour notre ile.
« Cambià u Campà » est la troisième expression du Conseil qui avait initialement décidé de trois niveaux de réponse concernant les conséquences de la pandémie et les solutions pouvant être proposées, se mobilisant dans les missions qui lui sont dévolues, pour apporter, à sa mesure, sa contribution.
Trois rapports réalisés en trois temps : le temps de l’urgence , celui de la sauvegarde et de la relance et enfin celui de la prospective.
En s’adaptant aux contraintes et en évoluant dans ses pratiques afin d’accomplir pleinement sa mission d’instance consultative au service de notre territoire et de nos concitoyens, la crise n’a pas en effet empêché le conseil de poursuivre son activité [...]
Rapport adopté à l"unanimité le 26 octobre 2021.